Le quart de finale de la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA 2025 entre le Paris Saint-Germain et le Bayern Munich restera dans les mémoires, non seulement pour le score, mais aussi pour la résilience des champions de France. Jouant la majeure partie de la seconde période à neuf, le PSG a livré l’une des performances les plus mémorables de l’histoire récente du club, s’imposant 2-0 face au Bayern et se qualifiant pour les demi-finales. Après le match, le défenseur Marquinhos a évoqué la performance de l’équipe et a félicité l’entraîneur Luis Enrique pour avoir insufflé à l’équipe la discipline et l’unité nécessaires sous une pression immense.
Le match était riche en rebondissements, en controverses, en batailles tactiques et, avec deux joueurs de retard, ce moment marquant où le PSG a tout de même réussi à inscrire son deuxième but. Pour Marquinhos, ce moment a symbolisé l’influence d’Enrique, qui a insufflé la confiance et la structure nécessaires au PSG pour franchir la ligne d’arrivée face à l’un des adversaires les plus redoutables d’Europe.
Le tournant du match est survenu après deux cartons rouges : d’abord pour William Pacho, puis peu après pour Lucas Hernandez. Ces expulsions ont contraint le PSG à jouer plus de 20 minutes à neuf contre un Bayern désespéré d’égaliser. Dans un tel scénario, la plupart des équipes se seraient effondrées sous la pression incessante du Bayern, mais le PSG a tenu bon avec un sang-froid remarquable. Marquinhos a expliqué ce moment avec brio : « Les cartons rouges sont toujours des petites erreurs qu’il faut corriger. Ces petits détails font la différence. Avec un joueur de plus ou de moins, ça change tout. J’ai regardé mes coéquipiers après les cartons rouges. J’ai entendu tout le monde dire qu’on défendrait jusqu’au bout.»
Au lieu de paniquer, les joueurs du PSG se sont réorganisés, ont resserré leurs lignes défensives et ont attendu la bonne occasion de contre-attaque. Lorsqu’elle s’est présentée, ils l’ont saisie avec brio. Leur deuxième but, inscrit alors qu’ils étaient menés à neuf, a non seulement été une réussite tactique, mais aussi un coup de poignard psychologique pour le Bayern, qui poussait pour égaliser. Pour Marquinhos, la clé de la réussite du PSG dans l’adversité réside dans son entraîneur Luis Enrique. Depuis son arrivée à Paris, Enrique a mis l’accent non seulement sur la créativité en attaque, mais aussi sur la résilience et l’adaptabilité face aux difficultés.

Ses séances d’entraînement, axées sur la discipline et la force mentale, ont préparé les joueurs à ce genre de situation. Le défenseur a souligné comment les ajustements d’Enrique après les cartons rouges ont donné une chance à l’équipe : Le PSG a adopté une formation défensive ultra-compacte, minimisant les espaces pour les attaquants bavarois. Les joueurs de côté ont reculé sans relâche, couvrant les flancs où le Bayern tentait d’exploiter l’avantage numérique.
Le plan de contre-attaque est resté intact, les attaquants du PSG ayant pour consigne de conserver leur énergie pour des accélérations rapides. Cette clarté tactique a permis au PSG de garder son calme même dans le chaos. Pour Marquinhos et ses coéquipiers, ce fut la preuve que la philosophie de leur entraîneur fonctionne, même dans les circonstances les plus difficiles. Battre le Bayern est toujours un exploit, mais le faire dans un tournoi mondial avec deux joueurs exclus élève cette victoire au rang de légende. Pour le PSG, souvent critiqué pour ses échecs lors des matchs à élimination directe sous haute pression, ce résultat pourrait marquer un tournant. Il a démontré que l’équipe ne repose pas seulement sur des stars, mais aussi sur une discipline et une conviction collectives.
Marquinhos lui-même est au cœur du parcours du PSG depuis des années. Son leadership, combiné à la vision tactique d’Enrique, a permis à l’équipe de ne jamais perdre confiance. Le deuxième but du PSG, réduit à neuf, est devenu un symbole de résilience, un message adressé à ses rivaux : ce Paris Saint-Germain est prêt à se battre pour les plus grands honneurs, quoi qu’il arrive. Le défenseur brésilien a résumé la situation avec fierté :
« Nous avions dit que nous défendrions jusqu’au bout, et c’est exactement ce que nous avons fait. La victoire est pour l’entraîneur, pour l’équipe et pour tous les supporters qui ont cru en nous. » La victoire 2-0 du PSG sur le Bayern Munich en quart de finale de la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA 2025 était bien plus qu’une simple victoire. C’était une preuve de résilience, de génie tactique et de foi inébranlable. Jouant à neuf, les géants français ont réussi à frustrer leurs adversaires, à défendre avec cohésion et même à creuser l’écart lors de l’un des matchs à élimination directe les plus spectaculaires de ces dernières années. Pour Marquinhos, ce résultat a clairement démontré l’influence de Luis Enrique. Les conseils, la préparation et les ajustements apportés par l’entraîneur ont donné au PSG les moyens de réaliser l’improbable. Les commentaires du défenseur après le match illustrent l’évolution de l’état d’esprit collectif : l’équipe ne s’effondre plus dans les moments difficiles, mais les surmonte.